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Définition de l’énergie et ses dimensions

La définition de l’énergie en physique, c’est la capacité pour réaliser un travail. Un concept d’énergie plus général et une définition d’énergie plus appropriée serait la capacité à produire un mouvement.

Couverture du livre Loi de la Gravite Globale. V-838 Monocerotis.

LOI DE LA GRAVITE GLOBALE

PHYSIQUE GLOBALE

Auteur: José Tiberius

Technical assistant:
Susan Sedge, Physics PhD from QMUL

 

 

3. L'ENERGIE

3.a) Concept et définition de l'énergie en physique

La définition de force que nous avons adoptée est celle de la manifestation à un point dans l'espace de chaque type d'énergie, c'est-à-dire que la force est l'énergie où celle-ci se manifeste. Le problème de la définition du concept de force s'est transféré à la définition de l'énergie.

Selon Wikipédia, la définition d'énergie en physique est la capacité à réaliser un travail. Il existe en plus des définitions ou des concepts d'énergie selon la branche de la Physique Classique ou de la Physique Relativiste ou Mécanique Quantique où l'on se trouve.

Nasa- Matière barionique visible (Image du domaine public)
Nasa- Matière barionique visible.

Un sujet important dans les commentaires de Wikipédia sur le concept d'énergie, avec lequel je suis en principe totalement d'accord, c'est de maintenir que l'énergie n'est pas une substance intangible ni un système physique réel mais une propriété de ces systèmes physiques. Le problème de la science moderne, c'est que les définitions classiques ne sont pas maintenues parce qu'elles ne cadrent pas vraiment avec les avancées de la connaissance scientifique et comme il n'existe pas de modèle alternatif, elles finissent par être dénaturées.

Dans un contexte où apparaissent de nouvelles dimensions et où la réalité dépend de l'observateur, il m'est difficile de savoir quels sont les systèmes physiques réels et quels sont les systèmes abstraits, imaginaires ou même psychologiques.

Il sera peut être plus clair de dire que l'énergie est une propriété de la structure réticulaire de la matière –Ether Global ( gravitationnel - cinétique - masse).

Un autre aspect qui me plait, c'est que Wikipédia signale que les différentes acceptations, idées ou définitions de l'énergie sont en relation avec la capacité de produire un mouvement.

Pour la Physique Globale, une définition de l'énergie pourrait justement être la capacité de produire un mouvement. En premier lieu, parce qu'ainsi, on ne translate pas le problème de concept d'énergie à une autre grandeur comme la moins intuitive définition de travail et, deuxièmement, parce qu'autant le nouveau concept d'énergie que sa manifestation ponctuelle ou force sont proches du concept de mouvement.

Si la force est la manifestation ponctuelle de l'énergie, la somme des forces le long des points d'un déplacement sera précisément l'énergie, qui coïncide avec la définition de travail en physique. Ainsi le concept de travail serait la manifestation de l'énergie qui a provoqué un déplacement de l’Ether Global ou d'une de ses qualités ou propriétés qui peuvent provoquer un déplacement.

L'objectif est d'obtenir une définition d'énergie qui soit générale, bien qu'elle puisse être modulée pour déterminer des cas particuliers, et éviter d'avoir à changer le concept d'énergie quand le modèle physique ne se limite pas à la surface de la Terre, du système Solaire ou aux corps avec masse, pour donner quelques exemples.

Cependant, la nouvelle définition d'énergie n'est pas exempte de problèmes, par le fait d'être en relation avec le mouvement, elle devra être en adéquation avec chaque type de mouvement de la Physique Globale. Je vais consacrer le paragraphe suivant à examiner les types d'énergie pour vérifier que le ««« l'énergie ni se crée, ni se détruit, mais se transforme »»»»» continue d'être vrai.

Ensuite, on approfondira dans l'analyse de l'énergie cinétique, de l'énergie potentielle gravitationnelle et de l'énergie mécanique, en prenant en compte leurs relations avec l'effet Merlin.

Energie = masse * accélération * espace
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Le problème principal du concept d'énergie, ce sont ses dimensions physiques, car je considère en effet que l'énergie nécessaire pour maintenir l'accélération d'une masse le long d'un espace dépend de la situation initiale et de l'orientation spatiale du mouvement par rapport au système naturel de référence.

En d'autres termes, les dimensions actuelles du concept d'énergie ne nous permettent pas de définir d'unité d'énergie unique ou objective. Le contexte physique doit être ajouté aux dimensions actuelles. Au début, ce concept doit inclure au moins les conditions de gravité et de vitesse ou, mieux encore, une situation physique en repos dans son système ou cadre de référence naturel ou privilégié.

C'est exactement le même problème que pour la définition du temps, la définition de la seconde comme unité de temps est relative vu qu’on ne fixe pas les conditions de gravité et ni de vitesse de l'atome césium utilisé.

La Physique Globale n'a pas mis en évidence le sujet des dimensions, car la Mécanique Relativiste montre que la Deuxième Loi de Newton ou Loi de Force n’est pas exacte, avec le concept de masse relative. Cependant, la Relativité Spéciale d'Einstein, loin d'arranger le problème l'empire, car au lieu de déterminer un système privilégié, ce qu'il fait, c'est tout le contraire, il nie l'existence d'un système de référence privilégié, qu'il fixe ensuite sans le reconnaitre avec la Relativité Générale.

Ainsi, la Physique Relativiste, au lieu d'apporter une unité pour le concept d'énergie, en finit avec toutes les unités de caractère objectif du Système International d'Unités (SI).

En utilisant à nouveau l'exemple de l'évolution du modèle physique comme un puzzle, je dirai que, si la réalité physique avait la forme d'un œuf tridimensionnel, le Relativité Générale réussirait à le faire ressembler à un cube, avec toutes ses transformations continuelles d’unités de presque toutes les grandeurs, en alternant avec les dimensions physiques. D’un côté en établissant un axiome de constance de la vitesse de la lumière, il réduit d’une dimension et de l’autre, en relativisant les unités d’espace et de temps, il ajoute deux dimensions physiques.

Mieux vaut ne pas imaginer ce qui arrive à la définition d'énergie si la masse n'existe pas par elle-même et si l'espace et le temps sont relatifs. La Physique Relativiste pourrait réussir à compléter quelques pièces du puzzle, mais avec les pièces altérées artificiellement, il sera impossible de compléter le puzzle et la partie visible du puzzle obtenu sera un peu défigurée.

Ce que fait l'autre grande branche de la Physique Moderne, la Mécanique Quantique, dans ses diverses ramifications, c'est d'utiliser les probabilités, avec le Principe d'Incertitude, les dimensions additionnelles et les voyages dans le temps pour moduler les pièces et essayer d'agencer le puzzle. D'ailleurs, si une pièce est trop bizarre, elle l'envoie dans un monde parallèle.

Le résultat d'un modèle physique qui s'évertue à utiliser des concepts inadéquats pour les grandeurs essentielles, comme la définition de l'énergie, sera de ne pas réussir à compléter le puzzle et l’incompatibilité de certaines pièces ou de parties du modèle entre elles. Enfin, c'est au moins le cas de la Physique Relativiste et de la Mécanique Quantique.